Ce sont bien les chemtrails qui créent le dérèglement climatique !
(Extraits du livre les traces de la mort, Nenki) Question générale et conceptuelle :
Étant donné que l’air de la terre a une valeur spécifique de chaleur, quel serait l’effet projeté si on introduisait des aérosols qui contiennent des particules métalliques dans cette atmosphère? D’une manière plus spécifique, quels seraient les effets projetés si on introduisait des particules formées d’aluminium, de baryum, de magnésium, de titane et de calcium ?
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Cette liste est d’un intérêt particulier en raison des recherches passées et récentes qui confirment la présence inattendue de ces particules dans notre atmosphère, en association directe avec les opérations de pulvérisation d’aérosols.
On peut affirmer que l’introduction de la majorité de ces cinq éléments aura pour effet d’augmenter la température de l’atmosphère de la planète.
C’est une conséquence des valeurs spécifiques de la chaleur des éléments déjà mentionnés. Cette découverte est potentiellement de la plus grande importance en ce qui concerne notre vie et notre bien-être. Il est raisonnable de conclure que ceci se trouve en lien direct avec la prédominance grandissante des états de sécheresse observés dans les nombreux de pays ciblés par les chemtrails.
Confirmation dans cette vidéo dont copie écran :
Nouvelle confirmation dans cette vidéo : ce sont les épandages qui non seulement empoisonnent tout le vivant mais en plus créent le réchauffement climatique !!!
Encore une confirmation dans la vidéo ci-dessous qui s'appelle : "les terroristes du climat", nous avons en plus des explications sur les images radars qui prouvent que des stations réparties sur le territoire émettent de puissantes salves de micro-ondes qui permettent de tuer les nuages et donc les précipitations, créant la sécheresse et participant au réchauffement climatique !
Ce n'est pas tout, ils ont visiblement mis au point des lasers qui permettent de déclencher des éclairs à volonté sur toute l'Europe en même temps :
La communauté scientifique spécialisée dans les sciences du climat, y compris le Groupe Intergouvernemental d'Experts du Climat (GIEC) des Nations Unies, a promulgué la fausse idée selon laquelle les particules d’aérosol provoquent un refroidissement global en bloquant la lumière solaire [7,10-12]. Cependant, il est récemment apparu clairement que les particules d'aérosol sont des absorbeurs efficaces du rayonnement solaire, soit séparément sous forme de grosses particules, soit sous forme d'assemblages de petites particules qui transmettent rapidement cette chaleur aux gaz atmosphériques environnants.
La conséquence en est l'augmentation du réchauffement climatique.
La rapidité avec laquelle les particules de pollution troposphériques tombent au sol, en jours ou en semaines, permettrait de rétablir rapidement l'efficacité de la convection atmosphérique. Si un effort mondial visant à réduire les émissions de particules en suspension dans les aérosols était adopté, il serait suivi d'une réduction rapide et radicale du réchauffement planétaire et d'une amélioration significative de la santé publique planétaire.
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Cinquante ans après « Comment détruire l'environnement ?»: l'extinction anthropique de la vie sur Terre. Extraits :
Vers 2010, les pulvérisations aériennes de particules ont atteint un niveau quasi quotidien et quasi global. Vraisemblablement, un accord international secret a imposé les pulvérisations aériennes comme « parasol » pour la Terre. Cependant, les pulvérisations aériennes, plutôt que de refroidir l'atmosphère la réchauffent, retardent la perte de chaleur de la Terre et provoquent le réchauffement de la planète. MacDonald a également discuté de la destruction de l’ozone atmosphérique et du déclenchement de tremblements de terre et d’éruptions volcaniques, des activités désormais possibles avec des chauffages ionosphériques à haute fréquence.
Conclusions: MacDonald avait prévu avec précision la décision en cours de l'armée américaine de militariser l'environnement à des fins de sécurité nationale. Mais il n'a pas réalisé que les forces armées nationales pouvaient et seraient cooptées par un accord international secret dont la conséquence, même involontaire, était de déclencher la guerre contre la planète Terre, contre tout son biote et contre ses processus biogéochimiques naturels. Tant que les politiciens, les médias, les scientifiques et les autres membres de notre société n’auront pas vu ce qui se passe sous leurs yeux et demandé collectivement l’arrêt de ces activités technologiques secrètes, nous courrons vers la première extinction de masse provoquée par l’homme.
Cinquante ans après « Comment détruire l'environnement ?»: l'extinction anthropique de la vie sur Terre. Extraits :
Vers 2010, les pulvérisations aériennes de particules ont atteint un niveau quasi quotidien et quasi global. Vraisemblablement, un accord international secret a imposé les pulvérisations aériennes comme « parasol » pour la Terre. Cependant, les pulvérisations aériennes, plutôt que de refroidir l'atmosphère la réchauffent, retardent la perte de chaleur de la Terre et provoquent le réchauffement de la planète. MacDonald a également discuté de la destruction de l’ozone atmosphérique et du déclenchement de tremblements de terre et d’éruptions volcaniques, des activités désormais possibles avec des chauffages ionosphériques à haute fréquence.
Conclusions: MacDonald avait prévu avec précision la décision en cours de l'armée américaine de militariser l'environnement à des fins de sécurité nationale. Mais il n'a pas réalisé que les forces armées nationales pouvaient et seraient cooptées par un accord international secret dont la conséquence, même involontaire, était de déclencher la guerre contre la planète Terre, contre tout son biote et contre ses processus biogéochimiques naturels. Tant que les politiciens, les médias, les scientifiques et les autres membres de notre société n’auront pas vu ce qui se passe sous leurs yeux et demandé collectivement l’arrêt de ces activités technologiques secrètes, nous courrons vers la première extinction de masse provoquée par l’homme.